14/12/2019
Pour les banques, il existe deux « risques climat ». Il y a, d’une part, les risques physiques qui pourraient par exemple s’abattre sur n’importe quel bâtiment ou entreprise. Mais il y a aussi le risque que certaines activités financées par la banque, aujourd’hui rentables, finissent par causer de lourdes pertes.
En quelques mots :
- L’évaluation du risque climatique par les banques semble aujourd’hui ignorer une grande partie de l’impact pour lequel il n’existe pas de données disponibles
- Les « stranded assets » (actifs bloqués) pourraient peser lourd sur le bilan des institutions financières
- Les banques doivent avoir le courage de désinvestir en masse