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Le thème de la spéculation sur les denrées alimentaires a déjà été abordé à plusieurs reprises ces derniers mois. Au-delà de la compréhension du phénomène de spéculation et de son effet sur les prix des matières premières agricoles, il reste cependant souvent difficile d'identifier les acteurs responsables du problème. Qu'entend-on par « spéculateur » ? Peut-on différencier les bons et les mauvais acteurs sur les marchés dérivés de matières premières ?
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Touche pas à mon blé - Quand la finance dérègle notre assiette p.6-7 - Ensemble contre la spéculation alimentaire p.9 - Pour une autre finance - La monnaie, un outil citoyen p.12-13 - Un musée du capitalisme p.16

Partie 1: Pratiques d'investissement liées aux matières premières agricole

Ce document est disponible dans notre centre de documentation (référence FE-MARC2013-1)
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Ces dernières années, la volatilité des prix des matières premières agricoles a engendré des crises alimentaires dans de nombreux pays en développement. Dans le même temps, sur les marchés financiers, de plus en plus de spéculateurs parient sur l'évolution des prix de ces matières premières. Ces deux phénomènes sont-ils liés ? Tentative de réponse dans cette analyse.
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Au cours d'une précédente nous avons examiné le lien entre la spéculation sur les denrées alimentaires et la hausse des prix des matières premières agricoles. Nous allons à présent aborder le sujet de la spéculation alimentaire sous un autre aspect, celui de la régulation. Les législateurs ont en effet un rôle fondamental à jouer pour contrer la spéculation excessive sur les denrées alimentaires, d'autant plus que c'est la dérégulation des marchés financiers depuis une quinzaine d'années qui a permis l'entrée sur le marché d'une multitude d'acteurs. Dès lors, quelles mesures peuvent aujourd'hui être implantées pour remédier au problème de la spéculation ?
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Comment la spéculation financière alimente la crise alimentaire

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Réforme de la surveillance du secteur financier

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De nombreux dysfonctionnements ont été mis en exergue au sein de la sphère financière ces derniers mois. On pense bien sûr à la crise financière de 2007-2008 et, dans son sillage, les crises économique et sociale qui ont fait perdre à des millions d'individus leur emploi, leur habitation et les réserves qu'ils avaient constituées pour leurs vieux jour.
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Depuis le début de l'année 2010, la Grèce a subi un véritable séisme financier. À tel point qu'on peut lire régulièrement dans les médias que la Grèce risque de devoir enchaîner les mesures d'austérité pour redresser la barre. Au-delà d'une gestion publique probablement lacunaire, la Grèce est victime de la spéculation sur sa dette, mais aussi de la « rumeur » que font courir les agences de notation sur sa situation financière. À côté de la filouterie des opérateurs financiers visant à gagner de l'argent à tout crin, on peut opposer le « capital lent » basé sur l'économie réelle et l'investissement pour la création d'activités utiles.
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Le profit est une rémunération variable, incertaine mais espérée, du risque pris par le détenteur d'un capital investi. En règle générale, plus le risque est élevé, plus le capital sera rémunéré et donc le profit élevé. Le retour sur investissement ou rentabilité du capital investi désigne quant à lui un ratio financier qui mesure le montant d'argent gagné ou perdu par rapport à la somme d'argent investi. Lorsque le capital était encore détenu par l'entrepreneur, propriétaire de son entreprise, un retour sur investissement de l'ordre de 3 à 6 % par an était considéré comme honorable. Aujourd'hui un taux de 15, 20 voire 30% est considéré comme un minimum. Cette évolution s'explique par le fait que le capital est devenu essentiellement financier, c'est-à-dire détenu par les fonds de pension et autres intermédiaires financiers dont la seule logique est celle du profit le plus élevé et souvent à (très) court terme.
Ce document est disponible dans notre centre de documentation (référence MO-BAYO2008-2)