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Contenu exclusif Financité
À travers leurs activités de dépôt et de crédit, les banques ont un rôle important à jouer : faciliter la réalisation de projets menés par les particuliers et les entreprises. Par ce biais, elles répondent, volontairement ou non, à l'intérêt général. Malheureusement, les activités exercées par les banques ont souvent tendance à s'en éloigner. D'une part, des agents économiques (PME, ménages précarisés) semblent être laissés de côté par les établissements financiers traditionnels. D'autre part, certains investissements réalisés s'avèrent particulièrement risqués ou encore nocifs pour la société et l'environnement. Cette analyse est rédigée autour de trois questions : - Quelles sont les missions d'intérêt général qui doivent être remplies au niveau du secteur financier ? - Qui devrait remplir ces missions ? - Comment les pouvoirs publics peuvent-ils s'assurer de l'application de ces tâches ?
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Le marché belge du microcrédit en 2014

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Malgré ses qualités, le système de santé belge reste perfectible. L'accessibilité et l'utilisation des soins de santé restent inégalitaires. Alors que les dépenses en soins de santé augmentent inexorablement, accroître la prévention grâce à des campagnes de sensibilisation ciblées et un meilleur remboursement par l'assurance maladie obligatoire pourrait permettre d'atteindre un double objectif : limiter les dépenses publiques en matière de santé et favoriser l'accès aux soins des populations fragiles.
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Le crowdfunding est aujourd'hui à la mode et est parfois présenté, probablement de manière fort exagérée, comme une solution pour faire face aux besoins des entreprises en mal de financement mais aussi comme une solution pour réorienter l'épargne citoyenne vers l’économie réelle. Devant les 250 milliards d'euros déposés sur les comptes d'épargne, pas étonnant que les pouvoir publics (Fédération Wallonie-Bruxelles et Région wallonne) commencent à regarder de ce côté.
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Notre gouvernement fédéral a décidé de faire passer l'âge légal de la pension à 66 ans en 2025 et à 67 ans en 2030. Il est également question de décourager les départs anticipés à la retraite. Une réflexion sur un système de pension viable est au cœur de notre actualité. Il s’agit donc de réfléchir et de s’interroger sur l'origine et l'évolution de ce système. Dans un contexte marqué par une crise économique toujours brûlante, ces réflexions sont plus que jamais fondamentales.
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Au cours d'une précédente analyse, nous avions évoqué l'impact de la financiarisation sur la gouvernance d'entreprise. Deux phénomènes liés à la financiarisation ont ainsi contribué à modifier la politique stratégique des grandes entreprises (cotées en Bourse) : l'évolution de l'actionnariat des entreprises d'une part, et l'importance prépondérante prise par ces actionnaires d'autre part, souvent au dépend des travailleurs ou de l'investissement. Cette contribution analyse les conséquences de ces transformations sur la politique d'investissement des entreprises et, en particulier, sur l'innovation.
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Un impact profond sur la gouvernance des entreprises

L'éternel débat sur les relations capital-travail est loin d'être dépassé. Il est au cœur des questionnements sur la financiarisation des entreprises, laquelle favoriserait le capital au détriment du travail. En cause, le pouvoir accru des actionnaires – en particulier des investisseurs institutionnels – dans la gouvernance des entreprises. Explications.
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L'instauration d'une union bancaire par les instances européennes marque une avancée importante dans la gestion des crises financières. La supervision des principales banques actives dans la zone euro par la Banque centrale européenne et la mise en place d'un mécanisme de résolution ordonnée des banques en difficulté doivent permettre d'éviter une nouvelle crise financière telle que nous l'avons connue. Cependant, les limites du dispositif, de même que l'absence d'une véritable réforme de la structure des banques, sèment quelques doutes quant à la capacité de l'union bancaire à remplir ses objectifs.
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Une précédente analyse a introduit le concept d'effet de levier, procédé visant à s'endetter pour chercher à accroître le volume de ses activités. Bien qu'il soit inhérent aux activités des banques, l'effet de levier a souvent été utilisé à outrance par celles-ci pour financer leurs investissements à risques. Fragilisée par leur manque de fonds propres, les banques n'ont pas su résister à la crise financière. Pour renforcer la solidité des banques, des mesures ont dès lors été prises afin de diminuer cet effet de levier. Toutefois, ces exigences sont décriées par les banques. Qui a raison et qui a tort ?
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Il existe différents moyens de se financer. L'un de ces moyens consiste, pour une entreprise, un organisme financier ou un particulier, à s'endetter pour augmenter sa capacité d'investissement. Ce procédé porte un nom : « l'effet de levier ». En quoi consiste l'effet de levier ? Quel objectif poursuit-il ? Quels en sont les risques ?
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En accourant au chevet des banques au plus fort de la crise pour protéger l'argent des épargnants, de nombreux États se sont fortement endettés. En cause, le statut de banque universelle qui permet à une banque de « spéculer » avec l'argent des déposants. Depuis lors, ce statut est remis en question. Ne conviendrait-il pas de revenir à une séparation totale de la banque de dépôt et de la banque d'affaires ?
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« L‘État belge a gagné beaucoup d’argent en sauvant les grandes banques belges. » Ce discours a parfois été entendu ces dernières semaines, suite à la plus-value réalisée par le gouvernement belge grâce à la vente de sa participation de 25 % dans BNP Paribas Fortis. Ainsi, l'ancien Premier ministre Yves Leterme (qui menait les opérations lors du sauvetage des banques par les pouvoirs publics en 2008) s'est félicité de cette opération, « une nouvelle illustration que le dossier bancaire peut rapporter beaucoup d'argent ». Mais qu’en est-il réellement ?
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Le thème de la spéculation sur les denrées alimentaires a déjà été abordé à plusieurs reprises ces derniers mois. Au-delà de la compréhension du phénomène de spéculation et de son effet sur les prix des matières premières agricoles, il reste cependant souvent difficile d'identifier les acteurs responsables du problème. Qu'entend-on par « spéculateur » ? Peut-on différencier les bons et les mauvais acteurs sur les marchés dérivés de matières premières ?
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Ces dernières années, la volatilité des prix des matières premières agricoles a engendré des crises alimentaires dans de nombreux pays en développement. Dans le même temps, sur les marchés financiers, de plus en plus de spéculateurs parient sur l'évolution des prix de ces matières premières. Ces deux phénomènes sont-ils liés ? Tentative de réponse dans cette analyse.
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Au cours d'une précédente nous avons examiné le lien entre la spéculation sur les denrées alimentaires et la hausse des prix des matières premières agricoles. Nous allons à présent aborder le sujet de la spéculation alimentaire sous un autre aspect, celui de la régulation. Les législateurs ont en effet un rôle fondamental à jouer pour contrer la spéculation excessive sur les denrées alimentaires, d'autant plus que c'est la dérégulation des marchés financiers depuis une quinzaine d'années qui a permis l'entrée sur le marché d'une multitude d'acteurs. Dès lors, quelles mesures peuvent aujourd'hui être implantées pour remédier au problème de la spéculation ?
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La titrisation a souvent été accusée d'être responsable de la crise financière de 2008. Pourtant, lorsqu'elle est utilisée à bon escient, cette technique offre plusieurs avantages aux acteurs financiers. Alors, en quoi consiste la titrisation ? Faut-il l'interdire ?
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Depuis le début de la crise financière, l'idée de regrouper les actifs toxiques des banques dans une structure spécifique (une bad bank) chargée de les liquider est devenue à la mode, comme le montrent en Belgique les exemples de Fortis et, plus récemment, de Dexia. En quoi consiste une « bad bank » ? Quelle est son efficacité ? Existe-t-il des alternatives ?