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Le cas de microStart

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Contenu exclusif Financité

Une étude montre l'impact significatif de ces crédits sur le budget des pouvoirs publics

Le marché du microcrédit belge continue sa lente mais inlassable progression. Pourtant, le caractère non rentable de l'activité – dû à son approche exclusivement sociale qui dissuade les acteurs sur ce marché de demander des taux d'intérêt élevés – est contrebalancé par de nombreux effets positifs sur les dépenses et les revenus des pouvoirs publics, comme le prouve une étude réalisée en 2014 par la Vlerick Business School sur l'impact socio-économique des activités de microStart. D'où l'importance de renforcer le partenariat public/privé ? Après un état des lieux du marché du microcrédit en 2013, notre analyse se penchera plus en avant sur cette étude.

Banks and microfinance in Europe

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2010 for Social inclusion

Social inclusion and microfinance - a lot to offer and a lot of potential p3 The debate p6 Microfinance and social objectives - how can MFIs demonstrate that they are socially useful? p10 Taking microcredit to the next step : the Permicro experience p18 Reaching out to the hard-to-reach : atask of institutional capacity building in European non-banking MFIs p22
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Contenu exclusif Financité
2005 a été proclamée « Année Internationale du Micro-crédit ». C’est l’occasion de faire un tour d’horizon des différents micro-crédits offerts aux entrepreneurs qui souhaitent se lancer ou développer leur activité professionnelle d'indépendant en Belgique.
Les échecs du modèle socialiste, mis en évidence par le fort taux de chômage, ont mené la France à se réorienter vers davantage de création d'entreprise. Ces aventures entrepreneuriales nécessitent un financement. Pourtant, les banquiers ne veulent pas supporter le fort risque représenté par les entreprises nouvellement créées. En outre, les petits entrepreneurs qui réussiraient tout de même à recevoir un financement se trouvent au final encore rationnés à la marge si le taux de crédit est plafonné par la législation. En parallèle, la croissance de la microfinance dans le monde a montré que les techniques innovatrices peuvent augmenter la disponibilité de crédit, sans augmenter indûment le risque. Néanmoins, cette croissance de l'accès au crédit peut ne pas se concrétiser si les taux de crédit restent plafonnés par des lois régissant l'usure, comme c'était le cas en France. Cet article retrace les changements législatifs qui sont survenus en France dans les cinq dernières années, en se concentrant principalement sur les lois d'usure et certaines autres barrières au crédit. Il place ces évolutions législatives dans la perspective du modèle socialiste de l'Europe occidentale en comparaison de celles dans un certain nombre de pays développés. Il examine également si ces réformes ont été accompagnées de l'impact désiré. Finalement, il explore de lege feranda les évolutions législatives qui pourraient achever ce processus de modernisation du droit français du crédit.